
Le Sgen CFDT a essayé de comprendre pourquoi Toulouse métropole a voté contre la liste arrivée en tête aux élections du 10 décembre :
Le mardi 14 janvier 2020 à 10:29:17 UTC+1, Sgen-CFDT-syndical sgen-cfdt-syndical@univ-tlse3.fr a écrit :
Bonjour,
La section Sgen-CFDT s’interroge sur la position et le rôle du représentant de Toulouse Métropole lors des différents Conseils d’administration du 6 et 13 juin qui n’ont pas abouti à la désignation d’un président ou d’une présidente de l’Université Toulouse 3 Paul Sabatier.Selon nous informations, le représentant de Toulouse métropole, par ailleurs Professeur à Toulouse 1 Capitole, n’a pas soutenu la candidate arrivée en tête lors des élections du 10 décembre.Or lors des dernières élections des présidents de Toulouse 3, les personnalités extérieures ont toujours suivi le vote des personnels. Cela n’est plus le cas aujourd’hui.
Pouvez nous expliquez les raisons pour lesquelles la mairie de Toulouse s’oppose aux votes des personnels ? Est-ce une opposition de la mairie Toulouse vis à vis des enseignants-chercheurs de l’UPS, est-ce un vote de Toulouse 1 capitole contre Toulouse 3 ou je ne sais quoi ?
En effet les collègues et personnels de Toulouse 3 (Nous avons la possibilité de communiquer des informations à tous les personnels de l’Université) doivent avoir des explications que je suis incapable de fournir en l’état. Un communiqué de la mairie de Toulouse serait le bienvenu.
De: “Pierre Esplugas”
À: “sgen”
Cc: “CHOLLET François”
Envoyé: Mardi 14 Janvier 2020 10:47:06
Objet: Re: Elections à la présidence de l’Université Toulouse 3
Monsieur,
au-delà du ton que je trouve quelque peu “offensif” et désagréable, je tiens à vous apporter les précisions suivantes:- comme je le l’ai publiquement hier en conseil d’administration hier,
le vote est secret et nul peut préjuger du bulletin de vote qui a été
mis dans l’urne au nom de Toulouse Métropole. Nous n’avons pas souhaité
rendre public ce vote précisément parce-que le choix d’un président
d’université relève avant tout des membres de la communauté
universitaire, enseignants chercheurs mais aussi personnels
administratifs et étudiants.- Toulouse Métropole
est responsable de son vote et n’a pas à subir de pression de
quelconques organismes ou personnes que ce soit.- A
titre personnel, je trouve offensant que vous amalgamiez ma qualité de
professeur à UT1 Capitole avec ce vote et pensiez qu’il s’agit d’un vote
de Toulouse 1 Capitole contre Toulouse 3, ce qui n’est naturellement
pas le cas et est hors de propos.bien sincèrement
De: “sgen”
À: “Pierre Esplugas”
Cc: “sgen”
Envoyé: Mardi 14 Janvier 2020 14:23:40
Objet: Re: Elections à la présidence de l’Université Toulouse 3
Tout d’abord, un grand merci pour votre réponse car le cabinet du maire de Toulouse n’a jamais jugé utile de nous répondre.
Votre réponse fait l’éloge de la maxime du Cardinal de Retz : on ne sort de l’ambiguïté qu’à ses dépens.
Nous pensons qu’un communiqué de la mairie de Toulouse est indispensable pour clarifier la situation. Toulouse métropole est responsable de son vote et doit des explications aux personnels de l’UPS. Le CNRS l’a fait pourquoi pas vous ?
Vous semblez aussi oublier que, en tant que scientifiques, nous maitrisons parfaitement l’arithmétique et en particulier l’addition. Le doute n’est pas permis concernant le vote de Toulouse métropole ce que vous ne démentez pas. Se réfugier derrière le secret du vote est un peu facile et complètement déplacé quand on représente une institution telle que Toulouse métropole.
Il faut savoir assumer ses responsabilités ce qu’a toujours fait la CFDT et ce que nous continuerons à faire : nous devons la vérité à nos électeurs qui se sentent trahis. C’est la raison pour laquelle nous en informerons prochainement l’ensemble de la communauté universitaire qui est déjà largement au courant.
Encore une fois, nous n’exerçons aucune pression sur votre institution, nous demandons juste au nom des personnels qui ont placé la liste de Myriam Caracassès en tête des élections du 10 décembre les raisons de votre choix et la transparence de votre institution. Vouloir insinuer que notre précédent mail était une tentative de pression relève pour nous du registre de l’insulte. Ce mode de fonctionnement est totalement étranger à nos pratiques. Par ailleurs, nous sommes persuadés que vous ne subissez aucune pression de la part des autres candidats et notamment du doyen de la la faculté de médecine de Rangueil dont nous avons dénoncé les pratiques d’un autre âge (voir https://www.aefinfo.fr/depeche/617867)
Par ailleurs, nombreux sont les collègues qui s’interrogent sur le mélange des genres UT1, mairie de Toulouse. Nous sommes satisfaits de votre démenti.
Bien cordialement
Question : dans vos soutiens, le Sgen-CFDT propose que les contractuels BIATSS soient titularisés immédiatement sans concours (ce qui permet de bénéficier du RIFSEEP) ou bien bénéficient de « cédéisation » (qui ne permet pas de bénéficier du RIFSEEP), ce qui implique qu’à travail équivalent, le salaire n’est pas identique. Quelle est votre position sur cette situation ?
Réponse :
En premier lieu, il est bon de rappeler que la titularisation ne peut se faire que par concours, y compris dans le dispositif « Sauvadet ». Cette demande du Sgen-CFDT est une revendication nationale qui ne peut être mise en œuvre que par une évolution de la réglementation, nous n’en avons pas le pouvoir à l’Université Paul Sabatier. Cela dit, le lutte contre la précarité fait partie de notre projet. A travers le publications de recrutements dits « directs », il est possible de simplifier la titularisation des collègues, mais uniquement pour les emplois de catégorie C. Pour les autres, la cédéisation est une première étape qui pérennise l’emploi et permet d’envisager plus sereinement la préparation des concours de la fonction publique. Nous relancerons dans les quatre années à venir une politique de publication de concours pour les personnels BIATSS de l’UPS, non seulement afin de résorber la précarité, mais aussi pour donner à l’ensemble de nos collègues de meilleures perspectives de carrière à l’université.
Par ailleurs, dans notre projet, nous souhaitons que lorsque la cotation des postes sera effective, la prime de fonction correspondante soit attribuée à tous personnels, quel que soit leur statut, titulaire ou contractuel.
Questions posées par le groupe de travail Mobilité Douce de l’Université Toulouse III Paul Sabatier : L’objectif de ces questions est de sensibiliser les candidats à l’enjeu primordial que représente la problématique des mobilités dans l’objectif d’inscrire notre université dans une politique de développement durable. En effet, si le bilan carbone de notre université n’est pas encore calculé de manière officielle, il est clair que les premières projections font apparaître les déplacements comme le premier secteur émetteur de gaz à effet de serre. En attendant la mise en place d’un réel plan de déplacement à l’échelle de notre université, le groupe de travail « mobilité douce » souhaiterait un engagement des différents candidats à la présidence sur différentes actions qui nous semblent importantes et urgentes dans le cadre de la promotion des modes de mobilité doux. Ces actions sont les suivantes :
- Construire un garage à vélo sécurisé par laboratoire/service
- Garantir un accès aux douches pour tous (Laboratoires, Services et étudiants)
- Continuer la politique d’installation d’arceaux de parking vélo (devant tous les bâtiments)
- Continuer la politique de mise en place de chemins piétons
- Soutenir la mise en place d’un plan de déplacement et des actions qui y seront incluses
Réponse de Myriam Carcassès : Je vous remercie de m’interroger sur ce sujet qui me tient à cœur. La transition écologique et la responsabilité sociétale de l’Université font partie des éléments structurants de notre programme électoral. L’Université doit être exemplaire en la matière, non seulement vis-à-vis de ses étudiant.e.s et personnels, mais aussi vis-à-vis de l’ensemble de nos concitoyens. Un article sur notre site de campagne aborde ces questions dans leur globalité. La promotion des déplacements à faible impact carbone y est évoquée, mais pas avec la précision que vos interrogations requièrent. Je précise donc ici ma vision de ce que nous devons absolument entreprendre à l’UPS dans les quatre prochaines années en la matière. Il y a urgence.
Le dépôt d’une candidature au label Développement Durable & Responsabilité Sociétale , qui sera adopté par notre conseil d’administration le 9 décembre prochain, et qui mènera à la labellisation de notre établissement, prévoit dans son Axe 4 Gestion Environnementale, la mise en place d’une gestion des déplacements salariés et étudiants et d’une politique incitative de déplacements doux (section 4.1.3). Votre groupe de travail, animé par le référent Mobilité Douce, a un bilan très positif en la matière, qui se traduit par le dépôt d’une candidature au label Développement Durable & Responsabilité Sociétale. Une forte impulsion a ainsi été donnée depuis quelques années, mais beaucoup reste encore à faire et je m’engage à porter des actions concrètes en la matière, dans la logique du Plan Vert, notamment les actions que vous évoquez. L’accompagnement du covoiturage fait également partie de mes priorités, de même qu’un travail en concertation avec Tisséo pour améliorer la desserte de notre campus par les bus de ville, qui pourraient par exemple effectuer une boucle dans le campus, par le « périphérique » en arrivant ou en partant de leur terminus Université Paul Sabatier. Tisséo nous accompagnera plus généralement pour l’élaboration de notre Plan de Déplacement d’Établissement.
Question : Bonjour, que comptez-vous faire pour les MCF dont la carrière est bloquée ? Merci de votre réponse.
Réponse de Myriam Carcassès : Vous avez raison, il faut apporter des réponses plus satisfaisantes à la carrière des Maitres de conférences. Les « promotions » des MCF peuvent se faire de deux façons : l’accès à un poste de professeur ou l’accès à la hors classe, puis à la classe exceptionnelle des MCF.
Concernant l’accès aux postes de professeurs, la période de restriction de la masse salariale que nous venons de vivre a fortement réduit cette possibilité. Le retour avéré à un meilleur équilibre budgétaire nous permettra progressivement de retrouver des campagnes d’emplois plus importantes et je souhaite que cette augmentation soit particulièrement significative sur les emplois de professeurs afin que les postes dont la publication a été retardée pour des raisons budgétaires puissent à nouveau être proposés. Ensuite, il faut, en discussion avec les composantes et les laboratoires, que nous trouvions le bon équilibre entre les publications qui permettent des promotions de MCF de notre établissement et les recrutements externes.
La programmation pluriannuelle des publications de postes permettra à chacune et chacun d’entre vous d’avoir une visibilité à moyen terme sur ses chances de promotion à l’UPS.
Chaque année, nous produirons les statistiques de cet équilibre et l’évolution du nombre de MCF HDR de l’université. Parce que je crois que l’investissement doit être reconnu, je veillerai personnellement à ce que les MCF HDR impliqués dans les laboratoires et les composantes puissent avoir l’opportunité dans des délais raisonnables de candidater sur des emplois de Professeurs.
L’avancement à la Hors Classe et à la Classe Exceptionnelle doit aussi permettre une reconnaissance de l’investissement des MCF avec une appréciation équilibrée entre dossier recherche et responsabilités dans les formations. Sur ce point, je souhaite aussi que nous progressions ensemble en harmonisant avec les Groupes d’Avancement les processus d’examen des dossiers et les critères d’appréciation de leurs qualités. Là encore, l’objectif est simple, tous les MCF manifestement investis dans notre établissement doivent pouvoir bénéficier de ces avancements dans des délais raisonnables.
Question : En tant qu’enseignant du second degré, on a parfois le sentiment d’être mal pris en compte dans l’université. Que peut-on attendre de votre présidence sur ce sujet ?
Réponse de Myriam Carcassès : Comme chef de département, puis responsable des ressources humaines d’un UFR, j’ai acquis une bonne connaissance des différentes catégories de personnels et de leurs statuts, et notamment des enseignants du second degré.
La première chose que je souhaite vous dire, c’est que je ne fais pas de hiérarchie entre les différentes catégories d’enseignants ou d’enseignants-chercheurs. Le choix d’un statut relève souvent plus d’un choix de carrière que d’un niveau de formation, il n’est d’ailleurs que de voir le nombre important d’enseignants du second degré qui sont docteurs ou qui s’engagent dans une démarche de recherche (qui doit être soutenue par l’université). Par ailleurs, beaucoup d’enseignants du second degré exercent des responsabilités très importantes dans l’université, et il y en aura au plus haut niveau dans mon équipe si je suis élue.
Chacun, selon son statut, a donc un rôle différent à jouer et tous sont complémentaires. Les enseignants du second degré ont une mission exclusive d’enseignement et d’investissement dans les responsabilités pédagogiques, ils jouent de mon point de vue un rôle essentiel dans les formations, ne serait-ce que parce qu’ils permettent souvent de mieux prendre en compte ce lien indispensable entre les études secondaires et les études supérieures, et parce qu’ils portent aussi une attention particulière à la pédagogie, focalisation devenue absolument indispensable pour prendre en compte les publics variés que nous recevons à l’université.
Mais pour répondre précisément à votre question sur les enseignants du second degré affectés dans notre université, je fais deux propositions concrètes :
- Les enseignants du second degré doivent bénéficier d’un accueil et d’un accompagnement particulier : connaissance de l’ESR et différences avec l’EN mais aussi possibilités d’évolution de carrière. Pour ce faire, je propose que les enseignants du second degré aient la possibilité de rencontrer régulièrement un « référent RH ».
- Par ailleurs, un lien fort avec le rectorat doit être établi : à l’heure actuelle l’enseignement supérieur n’est pas représenté dans les instances académiques. Or, la spécificité des missions prises en charge par les enseignants du second degré dans le supérieur doit être portée en particulier lors des campagnes de promotion. Je propose donc une concertation rapide à l’échelle de l’Université Fédérale de Toulouse pour que l’ensemble des universités puisse engager avec le rectorat des discussions sur leur représentation dans les instances académiques qui concernent les enseignants du second degré.
Enfin, puisque certains de vos collègues m’ont aussi posé la question de la pertinence de ces élections pour eux, je le leur dit très directement : il est essentiel que vous fassiez entendre votre voix en votant massivement dans les élections aux conseils centraux de l’université.
Question : Je projette de développer l’apprentissage dans mon laboratoire. Comment faire ?
Réponse :
Positionner un apprenti du niveau master dans une unité de recherche en substitution à un stage de 5 ou 6 mois permet de renforcer l’attractivité du parcours recherche et de rééquilibrer au sein d’un master les parcours permettant l’insertion professionnelle et ceux conduisant au doctorat et à la recherche. Cela permet également de mieux connaitre les candidats en vue d’un contrat doctoral. Cette proposition vise un objectif ambitieux d’atteindre sous 6 ans 150 apprentis par an dans nos laboratoires.
Il s’agit clairement de subventionner la masse salariale des apprentis de façon à ce que le laboratoire n’ait plus qu’à débourser (au profit du master) les coûts de formation sachant que pour un master UPS, le coût sera inférieur à ce que le laboratoire consacre à la gratification du stagiaire de M2.
Les financements sont initiés actuellement en utilisant le legs MANN reçu par l’université en 2019 et la fondation CATALYSE. Nous continuerons à solliciter la fondation, nous demanderons également que le Centre de Formation d’Apprentis (CFA) consacre une part de ses excédents à ce financement et nous travaillerons avec l’Etat pour que celui-ci tienne bien les engagements en faveur du développement de l’apprentissage. Les avantages qui découleront de ce dernier point seront intégralement réinvestis dans de nouveaux contrats. A ce stade l’objectif de 150 apprentis est réaliste mais il se pourrait que d’autres financeurs puissent nous permettre d’aller au-delà.
Nous voulons proposer aux étudiants un accès à la recherche conforme à leurs attentes qui s’expriment de plus en plus vers l’alternance.
Question : vous écrivez dans votre programme que vous vous engagez à atteindre le mieux disant du site sur le niveau des primes pour toutes les catégories de personnels dès le Rifseep 3 et dès 2020, et à engager des discussions avec les représentants des personnels la cotation des postes et trouver le budget supplémentaire nécessaire à sa réalisation pour 2021. C’est assez technique. Que cela signifie-t-il en pratique ?
Réponse : le Conseil d’administration de notre établissement a augmenté l’enveloppe budgétaire annuelle consacrées aux primes des personnels BIATSS de 750 000 € en 2019. Cela s’est directement traduit sur les feuilles de paye des collègues. C’est ce que l’on appelle de « Rifseep 2 » (le Rifseep est le nouveau régime indemnitaire des fonctionnaires de l’État). Notre établissement a été spécifiquement accompagné par le Ministère pour cette augmentation de primes, et c’est une très bonne nouvelle. Au-delà, il était prévu de consacrer une somme identique de 750 000 € par an, en plus de la précédente et dès 2020, pour mettre en place la cotation des postes, le « Rifseep 3 ». Il s’agit de la modulation des primes en fonction du poste occupé. Sa mise en place nécessitera un travail long et délicat avant d’arriver à un consensus avec l’ensemble des parties prenantes de l’établissement. Nous préférons donc en 2020 utiliser le budget supplémentaire prévu pour accroître encore notre effort en termes de politique indemnitaire pour l’ensemble des agents, indépendamment du poste occupé. Nous nous y engageons. Nous nous donnons une année supplémentaire pour mettre en place la cotation des postes, en 2021.
En pratique, cela signifie donc que les augmentations de primes de 2019 seront doublées en 2020, en moyenne sur l’ensemble des agents de l’Université.
Question : Je suis en mission le mardi 10 décembre. Comment faire une procuration ?
Réponse : Les électeurs qui ne peuvent voter personnellement ont la possibilité d’exercer leur droit de vote par un mandataire, en lui donnant procuration écrite pour voter en leur lieu et place.
Le mandataire doit être inscrit sur la même liste électorale que le mandant.
Chaque procuration est établie sur un imprimé numéroté par l’établissement. Tout électeur qui souhaite établir une procuration doit effectuer sa demande par courriel à daji.elections@univ-tlse3.fr jusqu’à la veille du scrutin, le 9 décembre à 17h00. Il sera informé par retour de courriel du nom de la personne auprès de qui effectuer le retrait.
Le retrait dudit imprimé se fera auprès du relais élections de sa composante. Il doit justifier personnellement de son identité lors du retrait de l’imprimé .
Aucune photocopie ne sera acceptée.
Nul ne peut être porteur de plus de deux mandats.
Plus d’informations sur : http://www.univ-tlse3.fr/elections/elections-des-conseils-centraux-786224.kjsp
Question : je suis contractuel à l’UPS. Est-ce que je pourrai voter ?
Réponse : Oui, à condition de faire la démarche auprès du SAJE pour mon inscription sur les listes électorales avant le mercredi 4 décembre 2019.
Pour en savoir plus, consultez le site de l’Université : http://www.univ-tlse3.fr/elections/
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